La lutte contre les inondations en Ontario

Sude Bahar Beltan | Agent de recherche
Service de recherche

Notes

[1] Ministère des Richesses naturelles et des Forêts, Protéger les personnes et les biens : Stratégie ontarienne de lutte contre les inondations, 2019, p. 4.

[2] Doug McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario (Rapport au gouvernement du conseiller spécial de l’Ontario en matière d’inondations), 2019, p. 25.

[3] Gouvernement de l’Ontario, Protéger les personnes et les biens, p. 4.

[4] Jason Thistlethwaite, « The Emergence of Flood Insurance in Canada, Navigating Institutional Uncertainty », Risk Analysis, vol. 37, no 4, 2017, p. 748.

[5] Sécurité publique Canada, Évaluation du Programme national d’atténuation des catastrophes, 2019, p. 6.

[6] Ce nombre ne tient pas compte des inondations s’étant produites depuis 2018.

[7] Bureau d’assurance du Canada, Options de gestion des coûts de propriétés résidentielles les plus à risque d’inondation au Canada : un rapport du Groupe de travail national sur le risque financier d’inondation, 2019, p. 6.

[8] Vérificatrice générale de l’Ontario, Rapport annuel 2019 – Volume 2, p. 31.

[9] Greg Oulahen, « Flood Insurance in Canada: Implications for Flood Management and Residential Vulnerability to Flood Hazards », Environmental Management, 2015, vol. 55, p. 605.

[10] Avec la formule actuelle, l’Ontario ne pourrait bénéficier du programme qu’en cas de catastrophe lui coûtant plus de 46,2 millions de dollars. L’Ontario n’a eu droit aux AAFCC que trois fois ces dernières années : tempête de verglas de 1998, inondations de Peterborough de 2004 et tempête de verglas de 2013. (McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, p. 66).

[11] Oulahen, « Flood Insurance in Canada », p. 607.

[12] Matthew McClearn, « Poor flood-risk maps, or none at all, are keeping Canadian communities in flood-prone areas », Globe and Mail, 23 avril 2019.

[13] Comme il constitue le seul programme fédéral offrant du financement réservé pour la cartographie des plaines inondables ou l’évaluation du risque de crues, le PNAC vient compléter le Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes (FFAC) d’Infrastructure Canada : le second vise surtout les grands projets d’infrastructures (minimum de 20 millions de dollars), tandis que le premier finance surtout les projets structuraux à petite échelle conçus dans une optique d’atténuation des inondations catastrophiques.

[14] McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, p. 61-62.

[15] Conservation Ontario, Fact Sheet – Flooding in Ontario, avril 2018.

[16] Conservation Ontario, About Conservation Authorities.

[17] Les modifications à la Loi n’étaient pas encore en vigueur au moment de la rédaction de ce rapport.

[18] Gouvernement de l’Ontario, Les offices de protection de la nature.

[19] Registre environnemental de l’Ontario, Propositions réglementaires en vertu de la Loi sur les offices de protection de la nature (phase 1).

[20] Registre environnemental de l’Ontario, Déclaration de principes provinciale – Proposition de politiques.

[21] McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, p. 87.

[22] Toronto and Region Conservation Authority, Understand – Flood Risk Management.

[23] Commissaire à l’environnement de l’Ontario, Frais pour la gestion des eaux pluviales en milieu urbain : La solution de financement à nos besoins, novembre 2016, p. 3.

[24] Oulahen, « Flood Insurance in Canada: Implications for Flood Management and Residential Vulnerability to Flood Hazards », p. 605.

[25] Heather Bond, « The Changing Nature of Financing Flood Damages in Canada », in Flood Risk Management : Global Case Studies of Governance, Policy and Communities, 2019, p. 32.

[26] Un assureur peut décider d’honorer une réclamation pour dommage par l’eau même si ce type de dommage n’est pas explicitement couvert par la police d’assurance. (Oulahen, « Flood Insurance in Canada: Implications for Flood Management and Residential Vulnerability to Flood Hazards », p. 603, 605).

[27] Bond, « The Changing Nature of Financing Flood Damages in Canada », p. 32.

[28] Thistlethwaite, « The Emergence of Flood Insurance in Canada, Navigating Institutional Uncertainty », p. 751.

[29] Ibid., p. 750.

[30] Bond, « The Changing Nature of Financing Flood Damages in Canada », p. 33.

[31] Floodlist, « Insurance Body Calls for National Flood Action Plan After Costly Spring 2019 Floods ».

[32] Bureau d’assurance du Canada, Un guide d’information sur les phénomènes météorologiques extrêmes au Canada, 2019, p. 9-10.

[33] L’Ontario faisait ici figure d’exception, comme il s’était déjà doté de politiques et de procédures de gestion des plaines inondables par l’entremise de ses offices de protection de la nature. Avec l’instauration du PRDCI, ses cartes ont été mises aux normes pancanadiennes.

[34] Oulahen, « Flood Insurance in Canada », p. 605.

[35] Vérificatrice générale de l’Ontario, Audit spécial de l’Office de protection de la nature de la péninsule du Niagara, p. 29.

[36] Oulahen, « Flood Insurance in Canada », p. 605-606.

[37] Bureau d’assurance du Canada, Un guide d’information sur les phénomènes météorologiques extrêmes au Canada, 2019, p. 10.

[38] Matthew McClearn, « Poor flood-risk maps, or none at all, are keeping Canadian communities in flood-prone areas », Globe and Mail, avril 23, 2019.

[39] Bureau d’assurance du Canada, Un guide d’information sur les phénomènes météorologiques extrêmes au Canada, 2019, p. 10.

[40] McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, 2019, p. 81.

[41] Derek Antrobus, « Smart green cities: from modernization to resilience? », Urban Research & Practice, vol. 4, no 2, 2011, p. 207-214.

[42] D. Vineyard et al., « Comparing Green and Grey Infrastructure Using Life Cycle Cost and Environmental Impact: A Rain Garden Case Study in Cincinnati, OH », Journal of American Water Resources Association, vol. 51, no 5, 2015, p. 1342-1360.

[43] McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, 2019, p. 5.

[44]Madeline Bodin, « A higher tide », Planning Magazine, 2015.

[45] McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, p. 8.

[46] Ibid., p. 26, 130-131.

[47] Le ruissellement pluvial est vu comme la source de pollution des eaux douces dont la croissance est la plus rapide au monde. Les eaux pluviales deviennent elles-mêmes polluées lorsqu’elles tombent sur des surfaces imperméables (trottoirs, aires de stationnement, chaussée) et s’y mélangent avec du pétrole, des sédiments, des déchets et d’autres polluants.

[48] Brian Barth, « The Silver Lining of Sea-Level Rise », Planning Magazine, 2018.

[49] McNeil, Examen indépendant des inondations de 2019 en Ontario, 2019, p. 10, 87.

[50] Ville de Mississauga, Stormwater charge.