Ép. 25 : Les bizarreries de Queen’s Park

 

Transcription

3 août 2023

16 minutes (audio)

 

[00:00:00]

Erin : Bienvenue au balado « Parlons du parlement », où nous enseignons au public tout ce qui a trait au parlement. Nous sommes de retour ce mois-ci avec un autre épisode emballant!

 

[00:00:15]

David : J’ai hâte de voir ce que tu as organisé, Erin.

 

 

[00:00:18]

Erin : Eh bien, ce mois-ci, je me suis dit qu’il serait amusant d’examiner de plus près certains des détails les plus intéressants et, en quelque sorte, les plus bizarres de l’extérieur de l’édifice. On pourrait les appeler « les bizarreries de Queen’s Park ».

 

 

[00:00:32]

David : Oh, ça a l’air passionnant! J’en ai déjà quelques-unes en tête.

 

[00:00:35]

Erin : Chaque chose en son temps, David. Tout d’abord, j’ai une activité pour nous échauffer. Pas de jeux-questionnaires cette fois-ci. J’imagine que tu dois être triste.

 

[00:00:44]

David : Triste de ne pas me faire avoir avec tes questions pièges? Je n’irais pas aussi loin, mais je dois avouer que je commençais à les apprécier.

 

[00:00:53]

Erin : Bon à savoir! Je m’engage à préparer des questions particulièrement difficiles pour la prochaine fois! Mais aujourd’hui, on va y aller en douceur : quelles sont tes trois gravures préférées de l’édifice de l’Assemblée législative?

 

[00:01:08]

David : Hum... il y en a tellement, je ne pense pas pouvoir en choisir juste trois!

 

[00:01:12]

Erin : J’ai confiance en toi, David!

 

[00:01:14]

David : Tu es sûrement la seule... Je crois que ma gravure préférée est la frise allégorique sur la façade avant. Ensuite, les visages gravés dans la Chambre, et enfin les dragons sur les piliers en fonte au rez-de-chaussée.

 

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Erin : Oooh, ce sont de magnifiques gravures! Je m’attendais à ce que tu mentionnes la gravure des armoiries royales. C’est l’une de mes préférées parce qu’elle comprend une licorne.

 

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David : C’en est une jolie aussi. Mais tu m’avais bien dit d’en choisir trois.

 

[00:01:42]

Erin : Ah, oui. J’ai une autre liste à te demander. Prêt?

 

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David : Bon, d’accord, vas-y.

 

 

[00:01:47]

Erin : Quelles sont les trois représentations animales du parlement de l’Ontario que tu préfères?

 

[00:01:53]

David : Je m’attends toujours à un piège.

 

[00:01:55]

Erin : Pas de piège cette fois-ci. Je les réserve pour le mois prochain.

 

[00:01:59]

David : Bon, si tu le dis... Si je dois me limiter à trois, je choisis les gravures de l’aigle et du hibou dans la Chambre. Elles font partie de mes gravures préférées parce que j’aime ce qu’elles représentent. Le pélican dans la Chambre fait aussi partie de la liste.

 

[00:02:16]

Erin : Pélican? Quel pélican? Je ne la connais pas celle-là!

 

[00:02:19]

David : Ha! Je t’ai eu cette fois! Oui, il y a une gravure dans la Chambre qui ressemble à un pélican.

 

[00:02:26]

Erin : Je ne l’aurais jamais su!

 

[00:02:27]

David : À chaque fois que je vois cette gravure, ça me rappelle un drôle de dicton qui me faisait rire quand j’étais jeune. Le voici... Erin, tu sais ce qu’on dit à propos des pélicans?

 

 

[00:02:36]

Erin : Non, dis-moi.

 

[00:02:37]

David : Ils ont le bec plus gros que le ventre!

 

[00:02:40]

Erin : Ha! Tu caches beaucoup de surprises aujourd’hui, David. Elle était bien bonne. Très bons choix d’animaux d’ailleurs. Je crois qu’on parlera davantage de l’aigle et du hibou dans un prochain épisode. Donc, restez à l’écoute!

 

[00:02:57]

David : Parfait! Peut-être qu’on devrait consacrer tout un épisode aux créatures de Queen’s Park!

 

 

[00:03:01]

Erin : Je n’exclus pas l’idée, David! Je parie que tu te demandes quelle est ma gravure d’animal préférée dans l’édifice, n’est-ce pas?

 

[00:03:07]

David : Bien sûr, Erin.

 

[00:03:08]

Erin : Je suis contente que tu me poses la question. Je dirais que c’est en fait une paire d’animaux. Ces petits animaux sont touffus, aiment l’eau et sont devenus un symbole du Canada. On les trouve également sur les pièces de cinq cents.

 

 

[00:03:22]

David : Fais-tu allusion à la gravure des deux castors sur la façade de l’édifice à côté de deux dates très importantes?

 

[00:03:28]

Erin : En effet, David. Et ils sont également notre première bizarrerie du jour.

 

 

[00:03:33]

David : Cependant, les dates sont l’élément important de la gravure. Sur le côté gauche des portes d’entrée principales de l’édifice, on trouve une gravure de l’année « 1792 » et à droite des portes, une de l’année « 1892 ».

 

[00:03:44]

Erin : Le Parlement du Haut-Canada s’est rassemblé pour la toute première fois en 1792, non pas ici à Queen’s Park, mais à Newark, aujourd’hui appelé Niagara-on-the-Lake.

 

[00:03:55]

David : Le saviez-vous? À l’origine, la ville était appelée « Niagara » tout simplement. Le suffixe « on-the-lake » a été ajouté à la fin du 19e siècle pour éviter de la confondre avec la ville de Niagara Falls.

 

[00:04:04]

Erin : La deuxième date, 1892, représente le centième anniversaire de la première assemblée et fait référence à une cérémonie moins connue qui a eu lieu dans notre édifice actuel.

 

 

[00:04:14]

David : Le 17 septembre 1892, exactement 100 ans après la première séance du Parlement du Haut-Canada, l’édifice de l’Assemblée législative a officiellement ouvert ses portes à Queen’s Park. La construction de l’édifice n’était pas tout à fait terminée, mais le public a pu visiter les couloirs et les bureaux pour la première fois.

 

[00:04:29]

Erin : Cela peut porter à confusion, car l’ouverture « officielle » de l’édifice a eu lieu en avril de l’année suivante. Toutefois, pour souligner le progrès de la construction du nouvel édifice et pour célébrer le 100e anniversaire de l’ouverture de l’ancien Parlement du Haut-Canada, une parade et une cérémonie très animées ont été organisées.

 

 

[00:04:49]

David : Un cortège de dignitaires locaux et fédéraux a défilé à partir du site de l’ancien édifice parlementaire, situé aujourd’hui aux rues Front et Simcoe à Toronto, jusqu’à Queen’s Park, accompagné du son des fanfares. Une chorale d’enfants d’une école locale et une garde militaire ont accueilli le cortège au nouvel édifice, où ont eu lieu des discours et des chants. Le public a ensuite été accueilli à l’intérieur.

 

[00:05:09]

Erin : Le saviez-vous? Il a été rapporté qu’environ 4 000 personnes auraient participé à la cérémonie d’ouverture du 17 septembre, tandis que 20 000 personnes auraient participé à la cérémonie d’ouverture officielle en avril 1893.

 

 

[00:05:24]

David : Un autre élément qui a souvent semé le doute chez les gens se trouve au-dessus de la gravure de 1892, sur le côté est de l’édifice, un espace que nous appelons aujourd’hui « la salle mystérieuse ».

 

[00:05:34]

Erin : Effrayant tout ça...

 

 

[00:05:36]

David : Pas tout à fait, bien que cela me donne des idées pour un futur épisode au thème fantômastique.

 

[00:05:45]

Erin : Je crois savoir ce que tu as en tête, David. Il y a peut-être l’ombre d’une chance de l’inclure.

 

 

[00:05:54]

David : Excellent! Revenons à cette salle mystérieuse pas si effrayante. Situé au sommet de la tour sud-est, ce portique à ciel ouvert est appelé « loggia » dans le jargon architectural. Une loggia est un espace en plein air, souvent situé à un étage supérieur, qui comporte au moins un mur ouvert et des arcs.

 

[00:06:09]

Erin : Avec ses ouvertures en arc, ses planchers en cuivre, ses vues magnifiques et ses écrans en fer, c’est un bel espace. Mais à quoi sert-elle?

 

 

[00:06:18]

David : Justement, on ne le sait pas. Nous l’appelons la « salle mystérieuse » parce qu’on ne connaît pas son usage original, si ce n’est à des fins décoratives.

 

[00:06:28]

Erin : L’architecte n’a jamais inscrit ses intentions quant à la loggia dans ses plans originaux. D’où son surnom « salle mystérieuse ».

 

 

[00:06:34]

David : C’était peut-être pour des raisons de symétrie, puisqu’il y a une salle qui était prévue dans la tour sud-ouest pour une fonction spécifique, mais il nous serait difficile d’en déterminer l’usage aujourd’hui.

 

[00:06:45]

Erin : Une grande horloge était censée être installée dans la tour opposée, comme dans l’édifice parlementaire à Londres, en Angleterre. Toutefois, probablement par faute de budget et de temps, l’horloge n’a jamais été fabriquée. Il y a, à sa place, deux rosaces. 

 

 

[00:07:01]

David : Cependant, c’est ce qui entoure les rosaces qui constitue notre prochaine bizarrerie. L’un des éléments les plus distinctifs de l’édifice est ses gravures complexes; les gravures autour des rosaces sont sans égal.

 

[00:07:12]

Erin : Chaque signe du zodiaque est gravé autour de l’espace prévu pour l’horloge. Ça peut paraître étrange de voir le zodiaque près d’une horloge, mais il y a une raison historique plutôt chouette qui se cache derrière.

 

 

[00:07:24]

David : Au 14e siècle, en Europe, on voyait communément des horloges et des symboles astrologiques ensemble puisque les deux étaient utilisés pour mesurer le temps. En suivant les constellations étoilées comme on suit l’heure, les gens étaient en mesure de se situer dans l’année. C’était d’une grande importance pour les fermiers.

 

[00:07:41]

Erin : Les horloges astronomiques sont devenues très populaires parce qu’elles regroupaient ces informations en un seul appareil. En général, les horloges astronomiques sont utilisées pour lire l’heure selon la position du soleil ou de la lune, ou parfois même selon la position des planètes et des constellations liées au zodiaque.

 

 

[00:07:59]

David : Le saviez-vous? L’une des horloges astronomiques les plus connues se trouve à Prague. Datant de 1410, c’est la plus vieille horloge de ce type encore opérationnelle.

 

[00:08:11]

Erin : Bien que notre horloge n’ait jamais été fabriquée, c’est amusant de croire qu’elle a fort probablement été inspirée des horloges comme celle de Prague.

 

 

[00:08:18]

David : En effet. En parcourant le côté ouest de l’édifice, nous trouvons notre prochaine bizarrerie : un escalier.

 

[00:08:25]

Erin : Je sais, vous pensez qu’un escalier, c’est banal, mais je vous promets qu’il est intéressant!

 

 

[00:08:30]

David : L’édifice de l’Assemblée législative n’est pas seulement composé de la Chambre et de quelques bureaux — les appartements de la lieutenante-gouverneure s’y trouvent aussi.

 

[00:08:36]

Erin : Beaucoup de gens croient que puisque ce sont des appartements, la lieutenante-gouverneure habite dans l’édifice, mais ce n’est pas tout à fait vrai. Ils sont plutôt composés de salles de rencontre et de réception. Cependant, l’escalier qui y mène est très intéressant.

 

 

[00:08:54]

David : L’escalier massif en pierre est soutenu par des piliers. Ce qui est notable, c’est que chaque pilier comporte des motifs uniques et est entièrement différent du pilier d’à côté.

 

[00:09:04]

Erin : Le chapiteau et la base de chaque colonne sont décorés de divers motifs, notamment des visages, des feuilles enroulées et des symboles celtes. Certaines colonnes ont les trois, mais aucune n’est identique à l’autre.

 

 

[00:09:17]

David : Le caractère fantaisiste des motifs correspond à d’autres éléments conçus par l’architecte Richard Waite, comme la tête de mort ou le singe dissimulés dans la façade de l’édifice.

 

[00:09:26]

Erin : Le saviez-vous? De nombreux personnages marquants on gravit cet escalier, y compris la reine Elizabeth II et le prince Philip.

 

 

[00:09:33]

David : Nous trouvons un autre escalier intéressant dans le coin opposé; celui-ci est surnommé « l’escalier qui mène nulle part ».

 

 

[00:09:40]

Erin : À une époque, cet escalier menait à l’entrée des bureaux du ministère de l’Immigration de l’Ontario. Bien qu’aujourd’hui cette responsabilité incombe au gouvernement fédéral, l’immigration était une responsabilité conjointe entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux au cours des décennies qui ont suivi la Confédération.

 

 

[00:09:56]

David : Le gouvernement de l’Ontario a établi, en 1874, un nouveau ministère de l’immigration qui avait deux objectifs : favoriser l’émigration vers la province et aider les immigrantes et immigrants nouvellement arrivés. Pourtant, le ministère a été remplacé dans les années 1900 par le Bureau de la colonisation, une division du ministère des Terres de la Couronne qui avait déjà des bureaux dans l’édifice.

 

[00:10:15]

Erin : Les dossiers de construction de l’époque nous racontent que l’espace a été rénové pour y faire installer de nouvelles toilettes, ce qui a sans doute entraîné la fermeture permanente de l’entrée au haut de l’escalier.

 

 

[00:10:26]

David : Mais l’escalier toujours présent et est un endroit amusant pour les visiteuses et visiteurs qui veulent prendre des photos.

 

[00:10:30]

Erin : Notre prochaine bizarrerie se trouve au sud-est de l’escalier qui mène nulle part : le monument Post One.

 

 

[00:10:39]

David : Le monument Post One est un projet provincial qui a été dévoilé en 1967 pour célébrer le centenaire du Canada. Le monument est un point géodésique et fait partie d’un réseau de points similaires placés partout au pays pour permettre aux géomètres de calculer des mesures exactes.

 

[00:10:54]

Erin : Le monument lui-même est un peu curieux : c’est une plaque horizontale surélevée comportant une carte du pays où sont indiqués les autres points géodésiques. Par contre, ce qui est fascinant, c’est ce qui se cache en dessous.

 

 

[00:11:08]

David : Une capsule historique a été placée sous le monument et elle sera ouverte pour le bicentenaire du Canada en 2067.

 

 

[00:11:15]

Erin : Il paraît que la capsule contient un message écrit par John Robarts, premier ministre de l’époque, avec des microfilms de journaux de Toronto de 1967, des cartes de la province, des magazines, des pièces de monnaie, des photos, des compositions musicales et d’autres articles représentatifs de la vie quotidienne des années 1960.

 

[00:11:34]

David : Le saviez-vous? Les trois chansons les plus populaires de 1967 étaient « The Letter » par Box Tops, « To Sir with Love » par Lulu et « All You Need is Love » par les Beatles.

 

 

[00:11:49]

Erin : Je me demande si l’une de ces chansons est dans la capsule.

 

 

[00:11:56]

David : Seul le temps nous le dira, Erin.

 

 

[00:12:01]

Erin : Oh, bien joué, David! Quel jeu de mots qui tombe à point!

 

[00:12:05]

David : Si on n’arrête pas maintenant, je crois qu’on pourrait continuer pour l’éternité.

 

 

[00:12:08]

Erin : Tu as probablement raison. Mais l’occasion était trop bonne pour la laisser passer!

 

[00:12:10]

David : Passons à notre prochaine bizarrerie. Il y a eu beaucoup de travaux de rénovation et de restauration pendant les années 1990, en partie parce que l’édifice arrivait déjà à son 100e anniversaire.

 

[00:12:20]

Erin : Pour souligner cette occasion importante, une autre capsule historique a été créée, mais celle-ci a été placée sur le toit.

 

[00:12:27]

David : On peut voir deux épis de faîtage décoratifs au sommet du toit de l’édifice de l’Assemblée législative. Chacun est en forme de flamme, un peu comme celle de la Statue de la Liberté à New York.

 

[00:12:36]

Erin : Un épi de faîtage est une décoration au sommet d’un toit ou d’une voûte. Ceux de l’édifice de l’Assemblée législative sont des copies des épis originaux qui avaient déjà disparu avant les années 1970 à cause de l’usure causée par les conditions atmosphériques et quelques coups de foudre.

 

 

[00:12:55]

David : Pour célébrer le 100e anniversaire de l’édifice, une capsule historique contenant des objets liés au parlement a été placée dans l’un des nouveaux épis et elle sera ouverte au bicentenaire de l’édifice en 2093.

 

[00:13:09]

Erin : Elle contient entre autres des souvenirs du centenaire provenant de la Boutique de cadeaux de l’Assemblée législative, des épinglettes de l’Ontario, un Journal des débats et un plan de la Chambre de 1993. Le saviez-vous? C’était la 35e législature qui siégeait lorsque la capsule a été préparée, donc le plan de la Chambre indiquerait 130 députées et députés, soit le nombre le plus élevé de députées et députés de toute l’histoire de l’Ontario. Aujourd’hui, il y a 124 députées et députés.

 

 

[00:13:40]

David : Enfin, la dernière, mais non la moindre, nous en sommes à ma bizarrerie préférée de l’édifice : la lumière en forme d’étoile dans le grenier central. On l’a déjà mentionnée dans un autre épisode, mais on devait y revenir.

 

[00:13:51]

Erin : Cette lumière en forme d’étoile est l’une de mes préférées aussi, David. Elle servait de signal lumineux et la tradition de cette étoile remonte aux années 1890.

 

 

[00:14:00]

David : À l’époque, l’édifice de l’Assemblée législative était l’un des édifices les plus hauts de la ville. C’est difficile de le croire de nos jours, avec tous ces gratte-ciel et grands édifices, mais l’étoile était utilisée pour signaler aux députées et députés ainsi qu’à la population que l’Assemblée siégeait le soir.

 

[00:14:12]

Erin : Le saviez-vous? Il paraît que la lumière était même visible à partir de l’île de Toronto, où habitaient quelques députées et députés.

 

 

[00:14:20]

David : La lumière est encore utilisée aujourd’hui, bien qu’il soit plus difficile de la voir avec les autres lumières de la ville.

 

[00:14:27]

Erin : La lumière est contrôlée à partir d’un interrupteur dans la Chambre marquée « Star », ou étoile en anglais.

 

 

[00:14:31]

David : Eh bien, nous avons réussi à faire le tour de l’extérieur de l’édifice aujourd’hui, Erin. Je pense que c’est un travail bien accompli!

 

[00:14:37]

Erin : Moi aussi, David. Et, tu sais, ce qu’il y a de mieux avec tous ces éléments, c’est que le public peut les voir simplement en se promenant sur les terrains.

 

 

[00:14:47]

David : Tu as raison! Par contre, il faudra peut-être des jumelles pour voir les bizarreries sur le toit.

 

 

[00:14:52]

Erin : Haha, bien pensé. Avant de partir, nous devons faire le décompte des anecdotes! J’en ai compté 7!

 

 

[00:14:59]

David : Je suis toujours étonné du nombre d’anecdotes que nous trouvons.

 

 

[00:15:02]

Erin : Moi aussi, David. Merci à tous d’avoir écouté le balado « Parlons du parlement », où nous enseignons au public tout ce qui a trait au parlement. On doit y aller. Je crois entendre la sonnerie.

 

 

[00:15:11]

David : À bientôt!

 

[00:15:12]

 

Erin : Le balado Parlons du parlement est une production de Protocole parlementaire et relations publiques pour l’Assemblée législative de l’Ontario. Les médias sociaux sont gérés par Protocole parlementaire et relations publiques pour l’Assemblée législative de l’Ontario. Les recherches additionnelles sont fournies par le Service de la recherche à la table pour l’Assemblée législative de l’Ontario. Merci de nous écouter. Si vous avez aimé l’épisode d’aujourd’hui, merci de nous encourager en partageant le balado et en vous y abonnant. Pour voir d’autres anecdotes sur le Parlement de l’Ontario, suivez-nous sur Twitter et Instagram : @parloneducation. Et en anglais : @onparleducation. Merci encore et à la prochaine.